Historique
L’entreprise est créée en 1928 par M. Maerten, qui lui donne son nom. Elle est à l’origine spécialisée dans la fabrication de mobilier en bois, et basée rue de Tournai à Lille. Dans les années 1960, les locaux sont transférés à Anstaing, à proximité de Villeneuve d’Ascq. En 1983, Théophile Maerten prend la succession de son père.
Au fil du temps, l’activité de l’entreprise évolue vers la menuiserie du bâtiment : fabrication et pose de portes, de fenêtres, d’escaliers et d’ouvrages d’agencement (placards, dressings, meubles de cuisines…) Ainsi le savoir-faire se diversifie, et des équipements sont acquis pour répondre aux nouvelles demandes.
En avril 2016, Yann Filez prend la suite de Théophile Maerten, qui reste quelques années encore dans l’entreprise. Suite au départ en retraite de ce dernier, la menuiserie porte aujourd’hui le nom de ANSTAING MENUISERIE BOIS.
Valeurs : la qualité, dans le respect de l’environnement.
Ce qu’on aime dans notre métier :
- être à l’écoute de nos clients, afin de cerner leurs besoins,
- travailler dans la joie et la bonne humeur,
- fournir un travail soigné, qui répond précisément au besoin exprimé,
- le sentiment de produire une richesse durable,
Le choix du bois comme matière première n’est pas anodin : il répond avant tout à notre goût du naturel. Indissociable, la notion d’environnement nous tient à cœur.
Pourquoi l’emploi du bois dans la construction peut-il être favorable à l’environnement ?
Grâce au phénomène de « puits de carbone », qui repose sur la photosynthèse, processus enseigné en classe de 6ème.
La molécule de dioxyde de carbone ou « CO2 », contenue dans l’air, est composée d’un atome de carbone C et de deux atomes d’oxygène O.
L’arbre, lors de sa croissance, décompose cette molécule : le carbone C est transformé en matière organique nécessaire à la croissance de l’arbre (entre autres : le bois), tandis que l’oxygène O2 est restituée dans l’atmosphère. Sur un cycle d’une année complète, un hêtre de 25 m libère l’oxygène nécessaire à 3 personnes. C’est le produit de la photosynthèse.
Un mètre cube de bois récolté et transformé correspond à environ une tonne de CO2 éliminée de l’atmosphère.
Lorsqu’un arbre vieillit, il fixe beaucoup moins de gaz carbonique, il est donc préférable de l’abattre afin qu’il laisse sa place à de jeunes arbres qui fixeront davantage de CO2. Si cet arbre meurt naturellement, le CO2 fixé sera restitué à son environnement dans la phase de décomposition, et son bilan de carbone sera nul, exactement comme si le bois était consommé en bois de chauffage. En revanche, si le bois produit par cet arbre est exploité (en construction par exemple), le CO2 restera fixé toute la durée de vie du produit fini.
Une forêt gérée durablement représente une « usine à transformer le dioxyde de carbone en bois ». Elle joue son rôle tant que des jeunes arbres repoussent à la place des plus anciens, exploités quand ils arrivent à maturité.